Patrick Moll Photographies

Ayant dû investir dans l'apprentissage du CMS Joomla! pour développer plusieurs sites, j'en ai profité pour reconstruire le mien sur une base un peu moins artisanale. La nouvelle structure a pour avantage essentiel de fusionner les articles du site et le blog, et d'intégrer des modules de navigation et de recherche plus efficaces. Au moment où j'écris ces lignes, les galeries théâtre et les derniers posts du blog ont été transférés. D'ici quelques jours, tout le contenu du précédent site et du blog sera en ligne ici, de même que quelques posts en retard pour cause de développement de cette nouvelle structure. L'ancien blog sera alors fermé...

Les articles-blogs sont accessibles via le menu Actu-blog, en totalité ou partiellement par rubriques thématiques. Les articles de fond et les galeries photo seront rangés dans les rubriques ad hoc et les nouveautés seront accessibles en page d'accueil comme les actu-blogs.

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N'hésitez pas à me faire part de vos commentaires ou suggestions, dans le guestbook ou via le formulaire de contact, car cette nouvelle formule est encore en construction.

Bonne lecture :-)

Parmi les développements que l'on aimerait voir intégrés à Lightroom, et que ne propose pas la nouvelle v2 (du moins dans sa version Beta), il y a un système de watermarking efficient. Thimothy Armes a adapté à LR le soft Mogrify et a développé un excellent plugin qui propose cette fonctionnalité (et beaucoup d'autres). Ce plugin d'exportation peut même remplacer complètement, et avantageusement, celui proposé par défaut dans LR. Il propose en effet de redimmensionner ses photos, d'appliquer une accentuation à l'export avec ou sans masque flou, de projeter dans un autre espace de couleur, d'ajouter un cadre, un watermark texte ou image, et même de procéder au transfert FTP des photos exportées. C'est un complément à LR qui est devenu pour moi absolument indispensable car il évite beaucoup de manipulations ultérieures hors LR. L'essayer, c'est l'adopter !

Ce plugin est un donateware (bridé avant donation à une dizaine d'exports simultané). Pour en savoir plus, vous pouvez visiter le site de Tim (en cliquant sur l'image), ou lire les articles que lui a consacré Gilles Théophile sur son site utiliser-lightroom.

Je ne pensais vraiment pas l'avoir si tôt, ce Zeiss 24-70/2.8 SSM, d'autant qu'il est plus destiné au flagship full-frame qu'aux actuels boîtiers APS-C qui en font un 36-105 un peu bâtard, il faut bien le reconnaître, car non vraiment utilisable en paysage, 36mm ne pouvant être considéré comme du grand-angle.

En revanche comme zoom à "tout faire sauf le paysage", il me semble que les utilisateurs APS-C ont bien su s'adapter à ce type de range décalé, le destinant au tout venant, à la photo de rue ou même au portrait aux focales les plus longues.

Après avoir particulièrement apprécié le Minolta 28-75/2.8 D et m'être régalé avec le Minolta 28-70 G, voici que Zeiss rappelle qu'on peut encore avoir mieux (en y mettant le prix). Je crois qu'aucun objo ne m'a fait une telle impression du point de vue de la qualité du piqué. J'ai fait un comparatif avec mes focales fixes Minolta/Sony 24/2.8, 28/2, 35/1.4, 50/1.7, 50/1.4, 50/2.8 macro et le Sigma 70/2.8 macro, et c'est à un vrai massacre que j'ai assisté : à f/2.8, elles ont toutes été battues, même des optiques réputées comme le 28/2 ou le 50 macro... A f/8, les écarts sont en revanche presque nuls, toutes les fixes citées devenant très bonnes à excellentes à cette ouverture. J'ai publié un résumé significatif des résultats de ces tests sur le forum DxD, j'essaierai de mettre en ligne ici une review complète dès que possible.

Je suis curieux de lire les reviews des magazines photos, qui ne devraient pas tarder à arriver...
En résumé, une vraie bombe, ce Zeiss. Lourd (1kg) et cher (1560€), mais détonnant. Vivement le flagship...

Céline Nogueira, qui nous avait gratifié d'un excellent Sarah Kane (Phaedra's love) il y a deux ou trois ans remet un spectacle en chantier. Une représentation d'étape était proposée au Théâtre Garonne, sorte de condensé de ce que pourrait être le spectacle, mix étonnant des tragédies de Shakespeare : MacBeth, Richard II, le Roi Lear...

Je n'ai pas encore bien compris pour quelle raison Gilles Théophile, référence francophone des tutos sur Lightroom, a choisi de citer mon tuto (incomplet) dans son blog, mais ça m'a vraiment fait très plaisir. Du coup ça me met la pression pour le terminer, le relire et compléter ce qui a déjà été écrit.

Merci à toi, Gilles, et une fois de plus longue vie à ton blog Utiliser-Lightroom et au forum du même nom, création récente mais qui est rapidement devenue la source d'information de référence pour notre logiciel préféré

Ayant besoin du meilleur bridge possible pour mes photos de théâtre quand les reflex sont impossibles à utiliser, j'ai porté un grand intérêt l'annonce de ce S100fs qui semble réunir ce qu'il est possible de faire de mieux à l'heure actuelle : une gestion du bruit à haute sensibilité dont Fuji s'est fait le champion depuis longtemps, un capteur plus gros que ceux des compacts et des bridges actuels, la stabilisation optique (cruellement manquante sur le Fuji 9600) et une qualité optique à la hausse.

Dimanche après-midi (pas de répit pour les braves), je suis allé shooter un filage complet de la Cerisaie, avec en particulier le quatrième acte que je n'avais pas encore vu. Heureusement que j'étais protégé par mon appareil photo car je crois que j'aurais été pas mal secoué par ce dernier acte, en particulier la scène finale jouée, que dis-je... incarnée par Georges Gaillard. Si vous regardez la galerie jusqu'à la fin, vous aurez une petite idée de ce qui vous attend...

Le face-à-face des deux principales troupes de la région est lancé : Andromaque au Pavé et la Cerisaie au Sorano. Rien que ça...

Voilà... les photos prises au bridge lors de la générale publique d'Andromaque sont développées. Il s'agissait probablement de la dernière sortie au théâtre de mon FZ50 puisque le bridge Fuji S100FS est désormais disponible et ne va pas tarder à venir garnir mes étagères (j'en reparlerai donc probablement sous peu).

Bien évidemment, ces clichés ne sont pas aussi bons techniquement que ceux faits au reflex, mais tout de même convenables dans ce format réduit d'affichage. Ils complètent exactement la série principale, étant issus du même shooting...

Si j'achète le nouveau bridge avant la fin des représentations d'Andromaque, je retournerai probablement l'étrenner au Pavé car c'est un spectacle très visuel et un bon test pour la dynamique du capteur et la colorimétrie.

La galerie est désormais accessible sur le site.

Après le shooting studio puis la création de l'affiche, le moment des représentations est arrivé pour l'Andromaque de Francis Azéma. C'était hier soir la générale publique, que je suis allé photographier faute d'avoir pu le faire ce week-end pendant les derniers filages. Gros regrets bien évidemment car en présence de public (nombreux qui plus est), impossible de faire claquer les reflex pendant les silences et les moments calmes...

Je n'ai ainsi pu faire qu'un petit tiers de photos avec mes deux Sony A700 (associés au 50/1.4, au Zeiss 85/1.4 et au 70-200/2.8 SSM), le reste ayant été pris au bridge FZ50.

Malgré l'heure avancée, je n'ai pas résisté à la tentation de jeter un oeil aux images, puis d'en développer quelques unes... et pour finir (à 5h du matin) toute la série prise au reflex !

Le spectacle était très bon, autant que l'on puisse en juger avec un appareil photo collé à l'œil : acteurs excellents, décor, scéno, lumières et son sans doute les plus réussis depuis que je fréquente le Pavé, et à l'arrivée un Andromaque qui s'écoule en un temps subjectif très court... Bravo Francis, bravo à tous les Vagabonds !

J'ai mis en ligne une galerie partielle en attendant que les photos prises au bridge soient développées.

En ces temps très difficiles pour les intermittents du spectacle, que le projet de loi prévu en avril ne va certainement pas améliorer, c'est avec grand plaisir que j'ai appris que la chorégraphe Brigitte Fischer (voir les galeries Petites histoires douces et cruelles et Respire) avait un nouveau projet en chantier. C'est avec un plaisir plus grand encore que je suis allé hier faire quelques photos pour illustrer son support presse.

Je ne peux dévoiler ici le sujet de cette nouvelle chorégraphie, ni proposer une galerie complète de ce qui n'est encore qu'une étape de travail, mais je vais quand même offrir une image qui me semble assez représentative de ce qu'il m'a été donné de voir...

Bravo Brigitte, et à bientôt sur un plateau avec plein de spectateurs qui vont une fois de plus en sortir émus et heureux

Quelques jours après l'arrivée de l'affiche d'Andromaque sur les panneaux urbains de Toulouse, voici que celle de la Cerisaie est venue la rejoindre !

Là encore tout est parti d'un shooting studio dont Marie-Chrisitine Colomb était le sujet unique. Près de 200 photos pour n'en conserver qu'une. Je ne suis pas certain que le choix final ait été le meilleur, mais ça c'est le privilège du metteur en scène. De la même manière, Brice Devos (le graphiste du Théâtre Sorano) a fait au mieux à partir du cahier des charges qui lui a été fourni, pour un résultat finalement acceptable même si je trouve que ce n'est pas ce qui a été fait de mieux à partir de mes photos. Mais bon, ça doit quand même bien rendre en grand format.

Cette Cerisaie, mise en scène par le duo Didier Carette et Olivier Jeannelle, sera jouée au Théâtre Sorano à partir du 11 mars 2008. Voici l'affiche :

Je me propose ici de faire une sorte de tutoriel par l'exemple pour illustrer ce que peut être un flux de données centré sur le logiciel Lightroom. Initialement prévu pour répondre à la demande de copains du forum DxD et Sony Alpha, il a pris une ampleur telle que la navigation sur un site web rend sa lecture plus aisée que sur des posts longs et successifs d'un forum. J'ai essayé d'être clair et précis, sans pour autant être exhaustif car il y des livres pour ça (à ce propos je conseille vivement la lecture de celui de Martin Evening, excellemment traduit et adapté par Volker Gilbert).

Après le "Sexe de la femme comme champ de bataille", dont j'ai redéveloppé les photos il y a une dizaine de jours, Zoé Tiberghien continue son voyage dans l'univers douloureux et percutant du dramaturge Roumain Matei Visniec, avec cette fois la pièce "Poupée anale nationale", étonnante satire de la "pensée" nationale frontiste dont le personnage unique est l'épouse d'un haut responsable du parti (qui fait irrésistiblement penser à une ancienne maire de Vitrolles...).

Dans cette pièce, jouée la semaine dernière au Théâtre du Pont-Neuf, Zoé y est une fois de plus magistrale. J'ai eu le plaisir de faire quelques photos de son spectacle, à éclairage alternativement bleu-blanc-rouge, évidemment, dont j'ai mis en ligne une sélection dans la galerie du site.

A titre d'illustration, voici un cliché tiré de la fin du spectacle :

Et bien voilà, l'affiche de l'Andromaque de Francis Azéma, qui sera jouée au Théâtre du Pavé à partir du 4 mars 2008, a été placardée dans les rues de Toulouse et ils n'ont pas lésiné sur la com pour ce spectacle, qui sera un gros succès à n'en pas douter.

L'histoire de cette affiche est inhabituelle. En général, je shoote une répétition et on choisit la photo qui convient le mieux. Là nous avons fait une très sympathique séance studio au Grenier où j'ai pris des clichés des quatre personnages principaux afin de créer de la matière brute détourable pour le graphiste Richard Baracetti qui devait la plonger dans un univers "à la Bilal". Le moins qu'on puisse dire est qu'il n'y est pas allé de main morte, et si j'avais plutôt imaginé un univers gris-bleu, le résultat est intéressant. En très grand format c'est assez impressionnant, même si l'ensemble paraît un peu sombre...

Pour mémoire, voici un collage des deux clichés originaux qui ont servi à composer cette affiche. Etonnant, non ? :

La semaine dernière, j'ai shooté avec grand plaisir la reprise d'une chorégraphie de Brigitte Fischer au théâtre Jules-Julien : Petites histoires douces et cruelles. Honnêtement pas avec la même réussite que son dernier spectacle Respire, à cause d'une lumière difficile et d'une position non idéale au pied du plateau. Quelques belles photos quand même, dont je propose (provisoirement) sur le site une large sélection avant réduction aux meilleures d'entre elles.

Ont servi deux boîtiers Alpha 700 et un Minolta D5D, les Zeiss 135/1.8 et 85/1.4 et les Sony 35/1.4 et 50/1.4. J'avais pris le Sony 70-200/2.8 SSM mais la lumière était trop basse pour shooter de la danse à f/2.8 : les vitesse d'obturation n'auraient pas permis de figer les mouvements. Les trois boîtiers étaient sur 800 ISO et les optiques à f/2.

La galerie est en ligne.

Je continue lentement mais (j'espère) sûrement la mise à jour des galeries théâtre antérieures à la création du site. Les outils de développement dont je dispose aujourd'hui rendent nécessaire un réexamen de la totalité des images. Je conserve en général le cadrage et le choix des photos, mais tout ce qui est travail sur les couleurs, l'exposition et le traitement du bruit est entièrement refait. C'est pour cette raison que ces intégrations se font si lentement.

Aujourd'hui j'ai donc redéveloppé les photos d'un filage du "sexe de la femme comme champ de bataille", excellente (et très douloureuse) pièce du dramaturge roumain Matei Visniec, que j'avais vraiment beaucoup appréciée lors de sa création en décembre 2006. La performance des deux comédiennes était remarquable, et une fois encore j'ai pris grand plaisir à revoir ces images. La galerie est en ligne.

La construction de ce site et l'alimentation de ce blog demandent à eux seuls un temps considérable dont je ne dispose hélas pas. C'est donc très lentement qu'ils progressent. Rien que pour mettre à jour les galeries de théâtre, il me faudrait plusieurs dizaines d'heures : j'ai plus de 40 spectacles dont les photos ne sont pas encore en ligne. Privilégiant évidemment les plus récents, les spectacles de 2004-2007 sont en rade

Ce soir, j'ai pris mon courage et mon sommeil à deux mains et j'ai redéveloppé les photos de la dernière reprise du Dog's Opera de Didier Carette. Ça m'a fait bien plaisir de revoir ces images. La galerie est désormais en ligne. Une de plus en moins, comme dirait Richard Desjardins...

Les spectacles d'Eric Sanjou sont un bonheur pour les photographes. Ses mises en scènes baroques, souvent très colorées avec des acteurs au jeu très expressif offrent une matière exceptionnelle pour faire de beaux clichés. On n'en dira hélas pas autant de ses éclairages globalement faibles, très contrastés avec des spots directionnels violents qui explosent les capacités dynamiques des capteurs de nos boîtiers actuels. Les automatismes sont de ce fait interdits (mode manuel et mesure spot obligatoires) et les objectifs très lumineux impératifs pour réussir plus qu'une poignée de clichés.

J'y suis donc allé avec mes armes de guerre habituelles : deux boîtiers Alpha 700 plus un Minolta D5D, les Zeiss 135/1.8 et 85/1.4 et le Sony 35/1.4 (plus un 50/1.4 et un 200/2.8 en réserve, mais que je n'ai finalement pas sortis). A coté de cette artillerie lourde (et bruyante), mes deux bridges FZ50 et G9 pour les moments silencieux.

Au final, un nombre record de 750 photos qui s'explique par la durée du spectacle : 4h ! Je suis globalement satisfait du résultat, même si je regrette d'avoir dû shooter du balcon plutôt que de l'orchestre, ce qui donne des images en plongée pas forcément idéales. La galerie est en ligne...